Quand le premier confinement a été annoncé, on l’a accepté à contre-cœur. Mais l’adaptation a été obligatoire, parce que l’urgence était partout. On a beaucoup discuté avec ma mère et on a décidé que je resterais dans mon kot car j’ai un proche qui est une personne à risque. C’était le début de la grande solitude.
Depuis ça va mieux, mais tout a changé, on est constamment sous tension en fait. Tout est devenu sérieux et pas drôle. ET puis on ne sait jamais ce qui va se passer: cours en présentiel ou pas. Bref, je suis souvent inquiet.
Témoignages